À trois flocons de toi..

 

EN LECTURE GRATUITE SUR

 

Avis de lectrice 

« Je prends ce titre comme une lettre d’amour, tellement plus romantique que de dire à trois pas de toi… Un Prince Charmant et une roturière, une fille du peuple N’est-ce-pas notre rêve à tous de trouver : Notre Prince ou Notre Princesse , de faire de beaux bébés, et de vivre heureux jusqu’à la fin de nos jours…

On pourrait dire un classique, mais pas sous la plume de Jordane CASSIDY, ce sont des instants magiques, tendres, amusants, désopilants, avec un petite pointe de vie réelle, car tout n’est pas toujours rose .. n’est-ce-pas…

Bonne lecture au pays de l’imaginaire de cette excellente Écrivaine

Merci pour tes écrits, qui me sont une vraie évasion pour moi Je vous souhaite une bonne lecture, et vous conseille aussi  »By my Baby »

Bonne lecture,

SP »

 

Notes :

Tu as aimé ? Dis-le moi sur mon livre d’or !

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CE WEBNOVEL A PARTICIPÉ AU CONCOURS « LA MAGIE DE L’HIVER » SUR INKITT.

 

 

Note : étant en lecture gratuite, cette histoire est publiée en état de 1er jet. Un travail éditorial et de correction sera fait ultérieurement. Il reste toutefois très acceptable à la lecture. Merci.

 

T1 – À VALDORA.

 

Journaliste inexpérimentée, Élyn se voit confier dans l’urgence pour la gazette du Flocon Bavard l’interview du Prince d’Astolia, Andréa Loran Valente, venu passer un séjour dans leur petite station de montagne, Valdora. Seulement voilà, l’article qui va en découler va en surprendre plus d’un dans la bourgade, à commencer par le Prince lui-même, qui va proposer à Élyn un marché pour le moins surprenant !

Découvrez comment la petite station de montagne Valdora est devenue le théâtre du plus beau conte hivernal raconté aux enfants chaque année lorsque les premiers flocons commencent à tomber…

 

SAGA EN DEUX TOMES

T1 : À VALDORA ( SAISON 1 + 2 ) En cours
T2 : À ASTOLIA

=> Je fonce le lire LE T1 !

EXTRAIT 

— Bonjour, mon Prince !

— Comment tu oses débarquer dans mon bureau ainsi et l’appeler « mon Prince » ?! cria le rédacteur en chef. C’est « Votre Altesse » !

— Ah oui ! Bonjour, Votre Altesse !

Andréa lui sourit, ravi.

— Bonjour, Mademoiselle Costa.

— Je suis sincèrement désolée si l’interview vous a déplu ! J’écrirai des excuses publiques s’il le faut ! lui donna-t-elle pour seule réponse à son salut.

— J’avoue, j’étais surpris…

Le Prince ouvrit le journal et reprit la lecture de l’article en question.

— « Votre Altesse, lors de grands froids, préférez-vous mettre un bonnet ou une cagoule ? » put-il lire avant de sourire.

Élyn se mit à rougir, gênée.

— Je n’ai pas souvenir que vous ayez formulé votre question de la sorte. J’avais en mémoire quelque chose de plus… court !

Les mains liées devant elle, Élyn, confuse, répondit timidement.

— J’avais déjà peu en contenu, j’ai dû… broder ! Je suis désolée !

— Dans ce cas, pourquoi avez-vous fait disparaître le passage où je vous invite au restaurant et n’avez-vous pas brodé ici aussi ? ajouta le Prince, un peu amer, mais amusé.

— Je n’allais tout de même pas vous faire passer pour un dragueur et ternir votre image ! Je ne voulais pas de mauvaises interprétations ! Un prince ne drague pas une journaliste !

— Parce que vous y avez vu encore de la drague ? Ah oui ? Moi, j’y voyais juste un renvoi de politesse !

— Quoi ?! Ah ! Oui ! Non ! Enfin, je…

Un énorme malaise envahit Élyn. Andréa se mordit les lèvres de voir ses remarques la déstabiliser autant. Le patron posa sa main sur son front, dépité du manège de son ancien élève.

— Je vous remercie toutefois de vous soucier autant de mon image.

Élyn se sut plus où se mettre.

— Pardon… se contenta-t-elle de murmurer, complètement abattue.

— Si on reparle également de la raison de la disparition de la discussion au sujet de mes abdominaux dans votre article, pour vous, c’était dû au fait que vous l’avez vu comme de la drague ou vous y avez vu une défense de mon image et un respect de ma vie privée ?

Élyn écarquilla les yeux, encore plus mal à l’aise. Elle n’osait plus regarder le Prince en face.

— Pourtant, c’est un détail croustillant pour les fans, non ?

— Je… eh bien…

— En écrivant votre article, telle la journaliste que vous êtes, avez-vous fait des recherches sur le net pour trouver les fameuses photos ? Y avez-vous vu un joli bidon au lieu de mes tablettes de chocolat, ce qui vous a obligé à la non-mention du sujet de votre article ?

Tout à coup, Élyn pouffa. Elle mit sa main devant la bouche pour tenter de retenir son fou rire soudain, mais eut du mal à se retenir face la pointe d’humour que le Prince venait de faire sur son physique.

— Pardon ! s’empressa de dire Élyn.

Le sourcil droit d’Andréa se leva.

— Cela vous fait donc rire que je puisse avoir une bedaine ? Seriez-vous en train de vous moquer de moi ?

— Noooon !

Andréa plongea son regard dans celui fuyant d’Élyn pour y déceler la vérité.

— Très bien ! Rectifions ce détail !

Le Prince ouvrit son anorak, puis leva son pull et les vêtements en dessous pour lui montrer sa ceinture abdominale. Élyn resta bouche bée, tout comme Nestor et tous ceux qui attendaient en dehors du bureau, mais épiaient leurs moindres faits et gestes.

— Qu’est-ce que vous faites ?! s’alarma Élyn.

— Voilà la vérité ! Vous avez de quoi écrire !